Titre : Kimi
ga Koi ni Ochiru
Nombre de
tomes : One Shot
Editeur VF :
non paru en France
Pour comprendre la
suite logique entre les trois mangas qui vont suivre il faut commencer par Kimi
ga koi ni ochiru. Il s’agit de l’histoire d’Haru, un prof de lycée qui dès son
arrivée, est harcelé par les membres du club de tir à l’arc. Ces derniers
connaissant bien les rumeurs sur ses prouesses en tir et son don pour viser
parfaitement au cœur de la cible implorent son aide. En effet, quelques années
auparavant, Haru concourait avec son ami et rival Reiichirou. Peu à peu, Haru, lui qui excellait, n’arriva plus à tirer
correctement. Il est dit que la cible est la représentation du cœur du
tireur. Cela va être parfaitement le cas pour Haru. Amoureux de Reiichirou et
n’arrivant plus à intérioriser ses pulsions, il décide d’abandonner le tir à
l’arc. Quelques années plus tard, lorsqu’il travaille dans ce lycée, il tombe
par hasard sur le petit frère de Reiichirou, Tsukasa. Les souvenirs douloureux
du passé affluent très vite dans sa mémoire et malgré le refus qu’il
affiche à aider les élèves du club de tir à l’arc, il se voit contraint de les conseiller au tir. Un
jour après les cours, Tsukasa embrasse de force Haru et lui déclare sa flamme.
Au début agacé par l’étreinte de Tsukasa, puis ensuite submergé par la
douceur de son amour, il va développer malgré lui des sentiments à son égard.
L’histoire va alors se compliquer quand Reiichirou apprend qu’Haru enseigne
dans le lycée de son frère et décide d’aller le voir.
One Shot que je
recommande chaudement !!! Les personnages sont très touchants, l’histoire
est cool, le dessin est génial. On ne tombe pas dans le domaine du one shot
basique habituel. Celui là est très court mais saisissant. A lire tout de
suite, et bien sur avant les deux autres !
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Titre : Kimi
ga Koi ni Oboreru
Nombre de
tomes : 3 vol collection terminée
Editeur VF :
non paru en France
Dans Kimi ga koi ni Oboreru il s’agit de
l’aventure de Reiichirou. Nommé manager d’un magasin de kimono,
il fait la connaissance de son équipe comprenant son co-manager Jinnai. Ce
dernier très irrité de voir que son supérieur est un homme étranger au travail
de manager et par dessus, quelqu’un dénué de toute subtilité envers les
clientes, il décide malgré tout de l’aider à avancer et lui apprend les rudiments
de la vente. L’art de séduire les clients passe en premier lieu par l’apparence
alors il lui demande de revêtir lui même un kimono. Tout de suite, Reiichirou
attire les clientes en masse par son élégance et sa beauté, beauté auquel
Jinnai ne va pas être indifférent. L’histoire se déroule en toute tranquillité
jusqu’au jour où Reiichirou retrouve Haru venu supporter Tsukasa lors d’un
tournois de tir à l’arc. Il décide alors de rencontrer son ami de longue date
en se rendant au lycée où il enseigne (vous me suivez n’est ce pas ? Tout
est lié, cette histoire se déroule en parallèle de l’autre !).
Finalement
rejeté par Haru, Reiichirou raconte tout à Jinnai le soir même qui profite de
la situation pour lui avouer ses sentiments. S’en suit des déclarations d’amour
passionnelles et quelques échanges corporels sympathiques. Mais je ne vous dis
rien, vous le verrez par vous même. Après tant
d’exotisme, viennent bien sur des péripéties qui entrainent le jeune couple
dans des situations à la fois frustrantes et hilarantes. La 1ère
sera celle de l’apparition de Kijima, une connaissance de Jinnai venue faire
affaire avec le manager pour une exposition de kimono. Cependant ce dernier
montre vite un intérêt particulier pour Reiichirou. Vous ne vous attendrez
jamais au retournement de situation qui suivra ! 2ème
péripétie : celui de l’Omiai (mariage arrangé) de Reiichirou et d’une
femme particulièrement collante, créant maintes disputes au sein du couple.
Quand j’ai voulu
survoler rapidement ce three shots pour en faire un article correct, je me suis
aperçue que j’avais oublié beaucoup de détails et j’étais tellement absorbée
que je l’ai relu entièrement. Désolée pour mon manque de synthétisme, je me
suis enflammée comme d’habitude mais vous l’avez bien compris ce yaoi est un
incontournable. Le fait qu’il y ait 3 tomes bien que chaque tome se suffit à
lui même est une qualité que je juge rare. Cependant, malgré que chacun des tomes se finisse plutôt bien,
on est avide de savoir la
suite. J’ai trouvé
l’histoire captivante de par la relation complexe qui lie Reiichirou et Jinnai,
le fait qu’ils veulent s’atteindre l’un l’autre parfois en vain et
l’explosion de sentiments aussi purs. En bref, a lire sans modération et bien
sur après Kimi ga Koi ni Ochiru.
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Titre : Kimi
ga Koi ni Midareru
Nombre de
tomes : 1 pour l’instant, collection en cours
Editeur VF :
non paru en France
Au tour de Kijima dans Kimi ga koi ni Midareru cette fois ci ! En résumé, Kijima se rend à une sorte d’exposition de
kimonos et a soudainement le coup de foudre pour les motifs de l’un d’entre
eux. Fort désireux de savoir qui est à l’origine d’une création aussi
somptueuse, il rencontre Yuzuki. Surpris d’apprendre qu’il s’agit d’un homme,
il cherche tout de même à mieux le connaître et se rend de multiples fois à sa
rencontre. On apprend alors que Yuzuki, avant de créer des motifs pour kimonos
prenait des cours de peinture et ses esquisses annonçaient déjà ses futures
créations. Le seul problème réside en le fait que ce dernier semble à tout prix
ne pas vouloir que son nom soit publié à côtés de ces œuvres.
Pourquoi ?
Il y a une raison cachée derrière cela. Harcelé à l’époque par un ami durant
ses cours de peinture, Yuzuki
faisait l’objet de rumeurs abjectes et d’harcèlement moral. Voulant s’éloigner
le plus possible de cet homme, Yuzuki décida de s’enfuir mais malgré cela de
continuer à concevoir à travers l’art du tissu sans divulguer son nom.
Seulement, un jour, Makita celui qui le tourmentait tant tombe sur l’une de ses
créations, reconnaît tout de suite son coup de crayon et le retrouve…
Ce n’est
malheureusement pas une série terminée à mon grand désespoir. Lisez le c’est
impératif même si vous serez grandement frustrée à la fin. A lire également si
vous vous intéressez de prêt à l’art du tissu en Asie.
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